Equipe : Washington + Californie + Londres
L'étude a consisté en la restriction calorique du régime alimentaire de rongeur de 10 à 50%. Cette diminution a entrainé une augmentation de la durée de vie des rongeurs (pas de données chiffrées), de réduire l'incidence des maladies cardiovasculaires, cancers et troubles cognitifs. Par ailleurs, une diminution des voies métaboliques du glucose, et de la voie de l'IG-F1, un facteur de croissance similaire à l'insuline, ont été observées.
Les auteurs insistent sur un point: chez les rongeurs soumis à ces restrictions caloriques, l'espérance de vie en bonne santé coïncidait avec la durée de vie. Ce qui présente un intérêt chez l'homme, ou l'espérance de vie en bonne santé présente un décallage de 30 ans avec l'espérance de vie (50 - 80 ans), dans les sociétés industrialisées, du moins.
Voici la place de l'IGF1 dans la signalisation hormonale liée à l'insuline:On
http://www.medicalnews-blog.fr/index.php?post/2010/04/20/Mangeons-moins-pour-vivre-plus-longtemps-et-en-meilleure-sante
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire